Le domaine des sciences et technologie était le pôle intégrateur de nos projets d’intervention en contexte afin d’intégrer des mathématiques et du français. Ceci n’est pas un hasard. Cette planification répondait à des besoins spécifiques tant du point de vue de l’enseignement que de l’apprentissage des élèves.

 

Nous savons que les élèves passent la majeure partie de leur temps en classe à apprendre et pratiquer le français et les mathématiques. Cette situation est compréhensible, car ce sont les deux domaines d’apprentissage les plus importants pour favoriser l’insertion sociale. Par contre, nous avons de la difficulté à comprendre pourquoi tant de notions et de concepts sont enseignés sans avoir recours à notre environnement et à la réalité quotidienne des élèves. De plus, il se trouve que ces réalités font partie intégrante des autres domaines d’apprentissage du PFÉQ.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’intégration des matières répond aussi à la nouvelle réalité du PFÉQ, soit de développer « un savoir-agir fondé sur la mobilisation et l’utilisation efficace d’un ensemble de ressources » (Gouvernement du Québec, 2006, p.4).  Cette stratégie pédagogique permet donc le décloisonnement des domaines d’apprentissage au profit du développement de compétences.

 

DeBlois, Lucie (2011). Enseigner les mathématiques, des intentions à préciser pour planifier, guider et interpréter. Québec : Presse de l’Université Laval.

 

Gouvernement du Québec. (2006). Programme de formation de l'école québécoise-Enseignement préscolaire et primaire. Repéré à http://www1.mels.gouv.qc.ca/sections/programmeFormation/pdf/prform2001.pdf